RICHARD GUINO (1890-1973) / RESSOURCES

CHRONOLOGIE
DES EXPOSITIONS

CHRONOLOGIE DES EXPOSITIONS DU VIVANT DE L'ARTISTE

Né le 26 mai 1890 à Gérone en Espagne, Ricardo Guinó y Boix – Ricard Guinó i Boix en catalan – est un sculpteur précoce, initié à l’art de la taille dans l’atelier d’ébénisterie de son père, Francesc Guinó i Anglada. Il se forme jusqu’en 1905 à l’école des Arts de Gérone où enseigne Prudenci Bertrana, figure du modernisme catalan qui deviendra son ami. De 1906 à 1909, Guino s’installe dans la capitale artistique catalane pour suivre l’enseignement de l’école des Beaux-Arts de Barcelone, La Llotja. Durant cette période, il se forme également dans l’atelier du sculpteur Eusebi Arnau, chargé de nombreuses commandes pour décorer les architectures modernistes1.

1908

Exposition collective2
Gérone (Espagne)
Sala del Foment de la Industria i el Commerç
– sculptures et dessins

1909

Exposition collective3
Gérone (Espagne)
Sala del Arte Moderno
– Buste de femme

À l’occasion de l’une de ces expositions Prudenci Bertrana présente son ami et ancien élève Guino à Aristide Maillol4, qui propose au jeune sculpteur de l’assister – à Banyuls d’abord, à Paris ensuite…

1910

Exposition collective5
Gérone (Espagne), mars
Sala del Arte Moderno
– sculptures parmi lesquelles des portraits de :
Xavier Montsalvatge, écrivain
Miguel de Palol, poète
Ramón Puig, architecte

Portraits et dessins anciens et modernes6
Barcelone (Espagne), mai
– Gabriel Gómez, buste
– Josep Puig i Pica, buste

Au cours de l’année 1910, Guino quitte l’Espagne et s’installe à Paris, dans le quartier de Montparnasse. Il assiste Maillol pour la création des nus monumentaux du « Cycle des saisons », Pomone, Flore, L’Été et Le Printemps (1910-1911), importante commande du collectionneur russe Ivan Morozov7.

Le marchand Ambroise Vollard et les comtes Kessler et Zoubaloff acquièrent également des œuvres du jeune sculpteur8.
Kessler précise dans son journal, à la date du 30 mai 19119 :
– « un torse de femme modelé avec extrêmement d’ardeur »
– « un petit relief en bois »

Guino fréquente librement l’Académie Ranson, où il peut dessiner d’après modèle vivant et réalise en 1912, à partir de maquettes de Maurice Denis, les bas-reliefs qui ornent le cadre de scène du Théâtre des Champs-Élysées10 :
La Danse, stuc doré
Le Chant, stuc doré

1912

Salon des Artistes Décorateurs11
Paris, 27 février – 1er avril

– bas-relief, bois sculpté

Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts12
Paris
Torse de femme nue, marbre, section Sculpture
Bacchanale, bas-relief en bois, section Arts Décoratifs13

Exposition de dessins14
Paris
Galerie Druet
– dessins

Exposition
Paris
Galerie Marseille et Vildrac

1913

Salon des Artistes Décorateurs15
Paris, 21 février – 31 mars
– panneaux, bois sculpté16

Ivan Morozov acquiert auprès d’Ambroise Vollard deux sculptures de Guino, à la date 11 novembre 191317 :

– Torse de femme, marbre
– Maternité, terre cuite

Entre 1913 et 1918 Guino, tout en poursuivant son œuvre personnel, crée des sculptures en collaboration avec Renoir18.

Le peintre, gagné au soir de sa vie par la paralysie, n’a rien perdu de sa soif créatrice et continue de peindre sans relâche. Si le vif intérêt qu’il a toujours éprouvé pour la sculpture est ravivé par ses échanges avec Maillol19, Renoir, alors âgé de 72 ans, se trouve dans l’incapacité de modeler. De sévères rhumatismes déformants l’ont privé de l’usage de ses jambes et ses mains, recroquevillées, sont protégées par des bandelettes où l’on glisse ses pinceaux. Vollard, son marchand et ami, réussit à le persuader de s’adjoindre le jeune sculpteur catalan que Maillol, d’abord approché, a recommandé : c’est ainsi que Guino, âgé de 23 ans à peine, relève le défi de créer les sculptures… « de » Renoir ?
Entre le vieux peintre et le jeune sculpteur se noue d’emblée une intense communion artistique. Une fois le sujet de l’œuvre déterminé, Guino travaille tantôt en prenant appui sur des peintures ou encore des esquisses que le maître a griffonnées à son intention,
 tantôt à partir de ses propres dessins préparatoires et souvent avec des modèles. Le jeune artiste jouit d’une grande liberté créatrice, ainsi certaines sculptures, tels les Laveuses et Forgerons (1916-17), ne se réfèrent à aucune œuvre particulière de Renoir. Chez le peintre à Essoyes et Cagnes-sur-Mer, mais aussi dans son propre atelier parisien, Guino modèle l’argile, tire les plâtres puis supervise les fontes, réalisées par Florentin Godard20. Vollard rémunère chacun des deux artistes séparément. Il éditera abondamment leurs œuvres sous le seul nom de Renoir, y compris sous forme de découpes.

Petite Vénus à la pomme ou Petite Vénus debout (1913) et variantes (étude/variante tête/variante socle)
Venus Victrix (1914-1916) et variantes (deux versions/variantes têtes/découpe tête/découpe buste)
L’Hymne à la vie, pendule (1914-1917), plusieurs versions
Le Jugement de Pâris (1915), haut-relief, trois versions (dimensions)
– Buste de Pâris
(1915), deux versions
Cézanne, Monet, Rodin et Corot, Delacroix, Ingres, portraits en médaillons (1915-1917)
Maternité (1916) et variantes (étude/découpe buste)
Buste de Madame Renoir (1916)
Eau ou Petite Laveuse (1916), deux variantes (dimensions)
Feu ou Petit Forgeron (1916), deux variantes (dimensions)
Eau ou Grande Laveuse (1917)

À la veille de sa mort en 1919, Renoir confie à son ami Albert André avoir donné « quelques conseils à un jeune sculpteur talentueux »… Le sculpteur fut relégué dans l’anonymat pour d’évidentes motivations commerciales et son apport créateur systématiquement dénié par Vollard. Malgré sa réussite artistique, cette aventure de création unique aura une répercussion ambivalente sur l’œuvre et la vie de Guino.

Durant cette intense période de création, Guino réalise également des portraits, dessins, bustes et médaillons représentant Renoir et ses proches, dont il partage le quotidien :
Renoir, dessin à la sanguine et lithographie
Renoir, médaillons
Renoir, gravure
Renoir peignant, sculpture
Renoir, buste
Pierre Renoir, médaillon et buste
Jean Renoir, médaillon et buste
Claude Renoir, buste
Claude Renoir junior, profil, médaillon et buste
Véra Sergine, épouse de Pierre Renoir, médaillon

1916

Triennale du Jeu de Paume
Paris, 1er mars – 15 avril
Venus Victrix
– Le jugement de Pâris,
haut-relief

Guino continuera de se rendre régulièrement à Cagnes-sur-Mer jusqu’en 1926. Il y pratique la céramique avec Claude et Jean Renoir ainsi qu’avec Marcelle Neveu, Louis Baude et Ferdinand Deconchy, peintre, céramiste et maire de la ville21.

Durant l’hiver 1918-19, Guino perd sa compagne et muse Eulalie Verdier, emportée par la grippe espagnole. La jeune femme travaillait comme modèle pour Maillol et réalisait des tapisseries. Guino acquiert pour elle une concession perpétuelle au cimetière de Cagnes-sur-Mer.

Eulalie est le modèle de nombreuses œuvres de Guino – croquis, dessins, portraits, masque, tête, bustes, sculptures, dont les nus monumentaux :
Femme aux raisins ou Vendangeuse (c. 1913)22
– Femme à sa toilette ou Grande Baigneuse (1915)23

1919

Exposition personnelle24
Paris, 18 – 29 novembre
Galerie A.-A. Hébrard, 8 rue Royale
– terres cuites
– bas-reliefs, parmi lesquels :
Léda et le cygne, bois (1919)
– figures féminines en acacia, ébène et hêtre
– crédence ornée de bas-reliefs
– dessins

Guino signe un contrat avec la Galerie Hébrard qui lui consacre trois grandes expositions personnelles en 1919, 1922 et 192325. Il présente des dessins, et des sculptures ainsi que des céramiques et du mobilier.

1920

Salon des Artistes Décorateurs26
Paris
– bas-reliefs, bois27

1921

Maternité et Enfance28
Paris, juin
Jardin d’Acclimatation

Maternité

1922

Exposition personnelle29
Paris, du 24 avril au 10 mai
Galerie A.-A. Hébrard, 8 rue Royale
Maternité, plâtre (1920)
– canéphores, terres cuites
Tête de bacchante souriant, coiffée de pampres et de grappes
– panneaux décoratifs en buis, noyer, ébène
La femme et le paon, encadrement de cheminée
– masque, bois de gaïac sombre et aubier

Salon de Mobilier et de Décoration d’intérieur30
Femme assise au paon, sculpture

Salon d’Automne31
Paris
Mère et enfant, plâtre
Femme à la corbeille, terre cuite

En 1922 débute une longue collaboration avec la Manufacture de Sèvres, qui édite pendant plus de dix ans des céramiques de Guino en grès et en biscuit, modèles que l’artiste reste libre d’éditer en bronze :
– Les Raisins (1921), édition en biscuit
Femme au paon (1922), édition en biscuit et en grès
(Ces deux œuvres sont achetées par l’État en vue de leur édition par la Manufacture32.)
– plat avec figure en relief (couple), faïence émaillée
Femme et enfant aux fruits, édition en biscuit et grès faïence émaillé
Pendule aux guirlandes, édition en biscuit et faïence
L’Automne, édition en biscuit et faïence
Enfant à la pomme, édition en grès

1923

Exposition de Printemps de Barcelone33
Barcelone (Espagne)
Femme portant un panier de fruits, terre cuite
Maternité, marbre34

Salon des Artistes Décorateurs de Barcelone35
Barcelone (Espagne)
– Les Raisins (1921), biscuit édité par Sèvres

Exposition internationale des Arts Décoratifs de Milan-Monza

Milan (Italie)
– œuvres en céramique dont :
– Les Raisins (1921), biscuit édité par Sèvres36

Peintures, aquarelles et dessins de sculpteurs37
Paris
Galerie Devambez, 43 bd Malesherbes
– Dessins

Exposition des Arts Appliqués38
Paris
Musée Galliera

Salon des Tuileries39
Paris
Femme à la grappe de raisins, bronze
Femme aux roses, terre cuite
– Les Raisins (1921)

Salon des Artistes Décorateurs40
Paris
– Centaure41
– Femme au miroir

Exposition personnelle42
Paris, jusqu’au 22 nov.
Galerie A.-A. Hébrard, 8 rue Royale
– sculptures en terre-cuite émaillée dont :
– Femme au paon, terre-cuite émaillée
– Vase rouge-brun aux anses en grappes de raisin
– Patelle décorée en son centre d’un médaillon, rouge et bleue
Pomone, terre-cuite émaillée
– sculptures en terre-cuite
– maternités
– médaillons

1924

Exposition au musée des Arts Décoratifs
Paris
Le musée fait l’acquisition de :
– Jeune femme au tambourin, terre cuite43

Dessins et peintures de sculpteurs44
Paris, jusqu’au 29 nov.
Maison Barbedienne, 30 bd Poissonnière

– dessins

Salon des Artistes Décorateurs45
Paris
– un panneau avec trois bas-reliefs
– un panneau émaillé
– une pendule émaillée
– une sculpture émaillée
– une coupe, terre cuite
Trois Grâces, pendule en terre cuite
Femme aux roses, terre cuite
– une sculpture, bronze

Guino signe un contrat avec la Maison d’Édition Colin, qui édite pendant dix ans des bronzes à partir des modèles de l’artiste46.

1925

Salon des Tuileries47
Paris
– sculptures

Exposition Internationale des Arts Décoratifs
Paris
Médaille d’argent dans la classe 27 (arts du jardin [sculpture de plein air]) et médailles d’honneur dans les classes 10 (art du métal) et 11 (art et industrie de la céramique)48

Exposition d’Art français contemporain au Japon49
Tokyo, Osaka
Femme au miroir

Guino se lie au marchand André Fau, qui a créé avec Marcel Guillaud l’Atelier de céramique d’art de Boulogne et édite les œuvres Vierge, Femme au tambourin et Femme au paon

Guino entrera en conflit avec Fau pour non-respect de sa propriété intellectuelle. Grâce à l’intermédiaire du syndicat de la propriété artistique, le contrat prévu pour une durée de dix ans entre l’artiste et le marchand sera résilié50.

Le 11 novembre 1925, « Richard » Guino obtient la naturalisation française. Il épouse sa compagne Gabrielle Borzeix51, qui a déjà donné naissance à Georges en 1922 et à Claude en 1924. Michel naît en 1926.

1926

Salon des Artistes Décorateurs
Paris
Femme et enfant aux fruits, faïence52

1928

Participation au XIe concours du Musée Galliera53
Paris
– bronze

1929

Dessins et plaquettes pour reliure54
Paris, du 10 au 29 juin
Galerie Hector Brame, 68 bd Malesherbes
Commandes d’Émile Chouanard (n° 888 à 931) :
La Mort de Venise (Maurice Barrès), plaquette en ébène
Salammbô (Gustave Flaubert), plaquette en ébène
Isadora Duncan (G. A. Denis et José Clara), plaquette en amarante
La Création (la Genèse), médaillon en argent
Les Fables de La Fontaine, plaquette en ivoire
Daphnis et Chloé (Maurice Ravel), plaquette en ivoire
La Grèce et la Sicile (José-Maria de Hérédia), plaquette en ivoire
Les Chansons de Bylitis (Pierre Louys), plaquette en ivoire
Poèmes (Maurice Donnay), plaquette en terre cuite émaillée
La Loïe Fuller (Roger Marx), médaillon en terre cuite émaillée
L’Ame et la Danse (Paul Valéry), médaillon en terre cuite émaillée

Salon des Indépendants55
Paris
– deux peintures

Salon de la Société des Artistes Français56
Paris
– deux vitraux réalisés avec Heiligenstein pour Émile Chouanard, Le Printemps et La Somnanbule

Sur l’instance de son ami le maître-verrier et céramiste Heiligenstein, Guino devient sociétaire de la SAF et participe presque chaque année aux salons jusqu’à la fin des années 194057.

1930

Salon des Artistes Français
Paris
Portrait du peintre Auguste Renoir, lithographie (n°1018)
Femme aux fruits, lithographie
Femme à la glace, peinture (n°462)
– céramiques58

Exposition59
Paris, du 20 nov. au 5 déc.
Galerie Jean Charpentier, 76 fbg St-Honoré
– sculpture et dessins
Guino expose des œuvres décoratives aux côtés du verrier Heiligenstein et de son épouse , avec lequel il a réalisé des verres peints en 1929,

1931

Exposition60
Paris, du 20 déc au 6 jan. 1931
Galerie Jean Charpentier, 76 fbg St-Honoré
parmi lesquelles des céramiques confiées à la galerie Charpentier par la Manufacture de Sèvres pour l’exposition des œuvres de Guino éditées par l’établissement61 :
– Les Raisins
Pendule Femme et enfant aux guirlandes de fruits
Femme au paon
L’Automne
– Femme et enfant à la pomme
– une plaquette porcelaine « Sèvres »

Salon des Indépendants
Paris
– deux sculptures

Salon des Artistes Français
Paris
Enfant au sein, lithographie
Enfant pleurant, lithographie

Guino signe un contrat avec la Maison d’Édition Susse Frères avec laquelle il collabore jusqu’en 195562.

1932

Les métaux dans l’art, concours du Musée Galliera63
Paris
– bas-relief, étain

Salon des Artistes Français
Paris
Femme nue, lithographie
Portrait de Pierre Bardinon, lithographie (n°456)

1933

Salon des Artistes Français
Paris
Enfant endormi, lithographie
Portrait d’enfant, lithographie (n°458, ill. cat.)
– quatre têtes d’enfant, étain, section sculpture
– objets d’art en bois, étain et céramique, section arts appliqués : Guino obtient la médaille d’or

Exposition64
Paris
Librairie L’Art Catholique, 6 place Saint-Sulpice

Vierge à l’Enfant, ronde bosse
Ange avec corne d’abondance
Ange avec un caliceplaquette (n°936)

1934

Salon des Artistes Français
Paris
L’heure de la tétée, lithographie
Mère et enfant, bronze, section sculpture : Guino obtient la médaille d’argent
– objets d’art décoratif, section arts appliqués

Renoir, l’œuvre sculpté, l’œuvre gravé, aquarelles et dessins
Paris, 15 oct. – 10 nov. 1934
Galerie Beaux-Arts
Seule exposition consacrée par Vollard à l’œuvre sculpté « de » Renoir, dont la genèse est romancée65. Deux sculptures réalisées par Renoir seul sont présentées (Médaillon et Buste de Coco), auxquelles s’ajoutent onze bronzes de « Renoir-Guino » :

Vénus victorieuse (col. Vollard, aussi dénommée Venus victrix)
Grande baigneuse (col. Vollard, aussi dénommée Grande laveuse ou Eau)
Buste de Pâris (col. Vollard)
Jugement de Pâris (bas-relief – col. Vollard)
Petite Vénus (col. Vollard, aussi dénommée Petite Vénus à la pomme et Petite Vénus debout
Petite baigneuse (col. Vollard, aussi dénommée Laveuse ou Eau)
Forgeron (col. Vollard, aussi dénommé Feu)
Cézanne (médaillon – col. Vollard)
Rodin (médaillon – col. Vollard)
Monet (médaillon – col. Vollard)
Maternité (col. Bignou)

De 1934 à 1939, Guino travaille à la réalisation d’un vaste programme sculpté pour l’église de style néo-byzantin « St Teresa of the Child Jesus » de Princes Risborough, au nord-ouest de Londres, une commande financée par sir Bernard Alexander66. Cette production ne traduit pas des convictions personnelles, les nécessités de la vie quotidienne guident le choix de l’artiste vers cette opportunité professionnelle qui marque une inflexion vers un style synthétique et monumental, participant au renouveau de l’iconographie religieuse.

Sainte-Thérèse de Lisieux, sculpture monumentale en terre-cuite
Sainte-Thérèse de Lisieux, bas-relief en grès à l’émail rose
Vierge à l’Enfant, sculpture monumentale en terre-cuite
Christ bénissant, sculpture monumentale en terre-cuite
Christ en croix, bois
Vierge à l’Enfant,  buste en terre cuite socle en acajou
Vierge, sculpture en terre-cuite

1935

Exposition universelle et internationale de Bruxelles 1935
Bruxelles (Belgique), du 27 avril au 3 nov.
Deux bas-reliefs pour le pavillon de la Ville de Paris67 :
Femmes aux fleurs, plâtre patiné (n°834)
Femmes aux fruits, plâtre patiné (n°835)

Salon des Artistes Français
Paris
Portrait d’enfant, lithographie
– portraits d’enfants et statuettes, section sculpture

Exposition de peintures de Juliette Cambier68
Paris
Galerie Marcel Bernheim
– sculptures, dont une :
Maternité

1936

Salon des Artistes Français
Paris
Portrait du poète Philéas Lebesgue, lithographie (n°1081)
Mes trois garçons, dessins

1937

Exposition universelle et internationale de Paris 193769
Paris, du 25 mai au 25 nov.
– décoration sculptée de la façade du Pavillon du Mobilier70

Portraits, Sites et Monuments de la Région de l’Oise71
Chantilly, du 8 juil. au 15 oct.
Musée Condé, Grandes Ecuries

Salon des Artistes Français
Paris
– objets d’art décoratif

1938

Exposition de sculptures au musée départemental de l’Oise72
Beauvais, du 14 avr. au 15 oct.
– sculptures
Portrait du poète Philéas Lebesgue (lithographie déposée au musée)

Salon des Artistes Français
Paris
Sainte-Thérèse de Lisieux, plâtre, section sculpture : Guino obtient la médaille d’or

Salon des Arts Appliqués73
Paris
Sainte-Thérèse, panneau de maître-autel, bas-relief émaillé

1939

Salon des Arts Appliqués74
Paris
Vierge à l’enfant, grès
Christ, sculpture

Salon des Artistes Français
Paris
Sainte-Thérèse, bas-relief en plâtre
Vierge à l’enfant, plâtre
Sacré-Cœur, plâtre

1942

Salon des Artistes Français
Paris
Femme au miroir, lithographie
– céramiques, section arts appliqués : Guino obtient la médaille d’honneur

Durant la guerre Guino s’installe avec sa nombreuse famille à Antony (Hauts-de-Seine), dans une maison atelier dotée d’un jardin. Son épouse Gabrielle a donné naissance à Eveline en 1933 et à Jean en 1936. Marie naît en 1944, le couple a six enfants. 

1947

Salon des Artistes Français
Paris
Mère et enfant, lithographie
Portrait d’enfant, lithographie

1948

Salon de l’association Arts, Sports et Culture du centre Paris Gaz75
Paris, du 13 nov. au 12 déc.
Centre du Gaz de France, 6 rue Condorcet
– sculptures
– céramiques

1949

Salon des Artistes Français
Paris
– Femme nue (arts graphiques)

Salon de l’association Arts, Sports et Culture du centre Paris Gaz76
Paris, du 5 au 26 nov.
Centre du Gaz de France, 6 rue Condorcet
– sculptures
– céramiques

1955

Renoir Paintings, Drawings, Prints and Sculptures
County Museum, Los Angeles, du 14 juil. au 21 sept.
San Francisco Museum of Art, du 1er sept. au 2 oct.
– sculptures de « Renoir-Guino » : Petite Vénus debout, Venus victrix, Maternité, Madame Renoir, Petite Laveuse, Petit Forgeron 77

1956

Librairie L’Art Catholique78
Paris, 6 place Saint-Sulpice
– sculptures
– céramiques

1960

Exposition du cinquantenaire de la mort de Léon Tolstoï79
Paris
Bibliothèque Nationale, galerie Mansart
– projet de plaquette en céramique

1963

Exposition Renoir
Marseille, du 8 juin au 15 sept.
Musée Cantini
Dans le catalogue sont présentées, sous la dénomination « sculptures exécutées par Guino » :
Buste de Mme Renoir, mortier peint à fresque et bronze
Maternité ou Mère et enfant, bronze
Le Feu ou Le petit forgeron accroupi, bronze
Petite laveuse ou L’Eau, bronze

Le 18 janvier 1964 est inauguré, dans le domaine des Collettes au musée Renoir de Cagnes-sur-Mer, un tirage en bronze de la sculpture monumentale Venus Victrix, acquis par la ville. À cette occasion, Richard Guino est photographié aux côtés de l’œuvre qu’il a créée en communion avec Renoir cinquante années auparavant.

Face au refus qui lui est opposé de tirer profit de quelques études qui lui sont restées du temps de sa collaboration avec Auguste Renoir, Richard Guino, soutenu par son fils Michel lui aussi sculpteur, assigne le 9 août 1965 les héritiers Renoir pour que soient reconnus ses droits.

Le 11 janvier 1971, la 3e Chambre Civile du TGI de Paris reconnaît Richard Guino co-auteur de l’ensemble de l’œuvre sculpté créé en collaboration avec Renoir, à l’exception de trois médaillons que Guino sera libre de divulguer sous sa seule signature (portraits d’Ingres, Delacroix et Corot). Le jugement est confirmé en appel le 9 juillet 1971. C’est une première jurisprudentielle qui modifie la conception jusque-là admise du droit d’auteur.80

Richard Guino meurt le 2 février 1973 à Antony (Hauts de Seine).

Le 13 novembre 1973, la Cour de Cassation rejette le pourvoi des héritiers Renoir et confirme définitivement Richard Guino, à titre posthume, dans sa qualité de co-auteur.

CHRONOLOGIE DES EXPOSITIONS POSTHUMES

1974

Pierre-Auguste Renoir Richard Guino, sculptures et dessins
Paris
Hôtel Bristol

1976

Richard Guino, sculptures et dessins
Strasbourg
Galerie Paskine de Ginoux
25 nov. – 20 déc.

1977

Rétrospective Richard Guino, sculptures, dessins
Cagnes-sur-Mer
Maison de Renoir aux Collettes

1987

Peintures Sculptures
Suisse, Genève
Galerie L’Orangerie

1988

Richard Guino, Sculptures et Dessins
États-Unis, New-York – Paris
Galerie Lugardon et Art Majeur

1989

Richard Guino, Dessins et Sculptures
Paris
Galerie Coligny

Sculptures Renoir-Guino et Guino
Japon, Tokyo
Galerie Urban

1992

Ricard Guino Escultures i dibuixos
Espagne, Gérone
Ajuntament de Girona

1994

Richard Guino, bijoux, sculptures
Paris
Arfan, ancien atelier du photographe Nadar, 35 bd des Capucines

Sculptures Pierre-Auguste Renoir Richard Guino – Sculptures, peintures, dessins Richard Guino
Monaco
Musée océanographique et Galerie Henri Bronne
29 sep. – 6 nov.

1995

Richard Guino, sculptures et dessins
Antony
Maison des Arts
31 mars – 15 avril

Sculptures Pierre-Auguste Renoir Richard Guino – Sculptures, peintures, dessins Richard Guino
Belgique, Bruges
juil.

1996

Sculptures Pierre-Auguste Renoir Richard Guino – Sculptures, peintures, dessins Richard Guino
Cannes
juil. – août

1997

L’impressionnisme dans la sculpture de Pierre-Auguste Renoir et Richard Guino
Italie, Busto Arcizio
Museo delle Arti Palazzo Bandera
mai – juin

2004

Sculptures de Renoir-Guino et Guino
Chine, Shangai
Biennale de Shanghai

2006

L’érotisme dans l’œuvre de Richard Guino
Paris
Louvre des Antiquaires, Galerie Spicilège

2008

Renoir et les familiers des Collettes
Cagnes-sur-Mer
Musée Renoir

2009

Renoir au XXe siècle
Paris
Galeries nationales du Grand Palais
23 sept. 2009 – 4 jan. 2010

2010

Renoir au XXe siècle
États-Unis, Los Angeles
LACMA Los Angeles County Museum of Art
14 fév. – 9 mai
États-Unis, Philadelphie
Philadelphia Museum of Art
12 juin – 5 sept.

2013

Le grand atelier du Midi
Aix-en-Provence
Musée Granet
13 juin – 13 oct.

Paris Perpignan Barcelone, l’appel de la modernité (1889-1925)
Perpignan
Musée des beaux-arts Hyacinthe Rigaud
20 juin – 13 oct.

2014

Renoir
Suisse, Martigny
Fondation Gianadda
20 juin – 23 nov.

2016

Renoir entre mujeres
Espagne, Barcelone
Fundaciòn MAPFRE
16 sep. – 8 jan.

2017

Un autre Renoir
Troyes
Musée d’art moderne
17 juin – 17 sep.

2019-20

Impressionism and Spanish Art
Moscou, Russie
Musée de l’impressionisme russe
10 oct. – 26 jan.

2021

Richard Guino, Vendanges Art Déco
et Portraits des Renoir
Essoyes
Maison et atelier Renoir
4 juin – 21 oct.

2023

Guino – Renoir
Le couleur de la sculpture
Perpignan
Musée d’art Hyacinthe Rigaud
24 juin – 5 nov.

NOTES
  1. Ricard Guinó, retorn a casa, Francesc Fontbona, cat. Ricard Guinó. Escultures i dibuixos, Ajuntament de Girona 1992, pp. 11-17
  2. Guino expose aux côtés de Rafael Masó et Joan-Baptista Coromina, il fait don de ses œuvres exposées à l'école des Arts, ce qui lui vaut la gratitude de la ville - El Autonomista (Girona), an XI, n°871 (5 nov. 1908), n°875 (21 nov. 1908) p. 3 et n°878 (10 déc. 1908) p. 3
  3. Ricard Guinó, retorn a casa, Francesc Fontbona, cat. Ricard Guinó. Escultures i dibuixos, Ajuntament de Girona 1992, pp. 11-17
  4. El retorn de Ricard Guinó, gironí universal, Josep Clara, Revista de Girona n°155, nov. déc. 1992
  5. Ricard Guinó, Carles Rahola, El Autonomista, any XIII, n°709, pp. 1-2, 2 avr. 1910
  6. Exposición de Retratos y Dibujos antiguos y modernos, sculptures n°48 et 49 salle XVII, cat. illustré, Ayuntamiento de Barcelona, 1910, p. 106
  7. Œuvres conservées au musée Pouchkine à Moscou
  8. Cat. Rétrospective Richard Guino, sculptures, dessins, Maison de Renoir aux Collettes, Cagnes-sur-Mer, 1977
  9. Journal, Comte Harry Kessler, T. II (1907-1937), Éd. de la Maison des sciences de l’homme - INHA, Paris 2017
  10. Illustrations dans l’Excelsior, fév. 1913 et Comœdia, 13 fév. 1913
  11. Brunhammer, Yvonne et Tise, Suzanne, 1990. Les Artistes Décorateurs, 1900-1942.Paris : Flammarion
  12. Dugnat, Gaïté, 2005. Les Catalogues des Salons de la Société Nationale des Beaux-Arts, 1911-1920. Dijon : Echelle de Jacob, tome V
  13. Œuvre illustrée dans le catalogue de la SNBA de 1912, série bijoux et objets d’art
  14. Probablement dans le cadre des expositions régulièrement organisées par l'Académie Ranson à la Galerie Druet (Goudal-Nicollier, Sandrine, 1998. L’Académie Ranson de 1908 à 1918, mémoire de 3e cycle sous la direction de Guy Cogeval. Paris, École du Louvre)
  15. Les Artistes Décorateurs 1900-1942, Yvonne Brunhammer et Suzanne Tise, Flammarion, Paris, 1990
  16. Société des artistes décorateurs, VIIIe salon ouvert du 21 février au 31 mars 1913, catalogue, Union centrale des arts décoratifs, Pavillon de Marsan, Palais du Louvre, 107 rue de Rivoli, p. 59
  17. Ces œuvres, présentées sur le site qui retrace l'histoire du "Musée d’art moderne occidental", sont aujourd'hui conservées l'une au musée Pouchkine à Moscou, l'autre au musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg. À l'occasion de l'exposition La collection Morozov, icônes de l'art moderne (Fondation Louis Vuitton, Paris, 22 sept. 2021 - 3 avril 2022), des photos d'époque de ces sculptures dans leur prestigieux contexte ont été présentées (elles sont reproduites dans le catalogue, pp. 124, 137, 263-264, 498). D'autre part l'historienne de l'art Natalia Semenova a publié, sur le site qu'elle a consacré à la collection Morozov, le reçu établi par Vollard pour Morozov, qui documente l'achat des œuvres de Guino.
  18. La collaboration Renoir-Guino ayant fait l'objet d'une minutieuse expertise dans le cadre du procès qui valut au sculpteur la reconnaissance de sa qualité de co-auteur (1965-1973), on se réfère principalement ici au rapport que l'expert Alfred Daber remit à la cour du TGI de Paris en 1969 ainsi qu'à l'essai d'Emmanuelle Héran, Renoir sculpteur ?, paru dans le catalogue de l'exposition "Renoir au XX<sup>e</sup>s.", Galeries nationales du Grand Palais, Paris, 2009. Voir également les sections "Œuvre-vie" et "Médiagraphie"
  19. Conversations de Maillol, Henri Frère, Somogy éditions d'art, Paris - Musée d'Art moderne de Céret, 2016, p. 78
  20. Ce fondeur talentueux, redécouvert par l'historienne de l'art Élisabeth Lebon (Dictionnaire des fondeurs de bronze d'art, France 1890-1950, Marjon éditions, Australie, 2003) avait notamment été chargé par Maillol du tirage des nus monumentaux du Cycle des Saisons. Grâce à ses archives, aimablement communiquées par Diana Widmaier Picasso, ainsi qu'à celles du Fonds Vollard, conservées au musée d'Orsay à Paris, se précise l'histoire de la création des sculptures Renoir-Guino et se révèle l'amitié existant entre les couples Godard et Guino, les deux hommes ayant été amenés à travailler très intensément ensemble tout au long des années 1910.
  21. Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., Julie Gandini, mémoire 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011, p. 65
  22. Une photo d'un tirage en bronze de cette pièce, dont on ignore la localisation, est reproduite, ainsi que d'autres œuvres, dans l'article René Guino (sic), Georges Keller-Dorian, L'art et les artistes, tome II, oct. 1920 -  fév. 1921, p. 199
  23. La première épreuve en bronze est conservée au musée des Beaux-Arts Hyacinthe Rigaud (Perpignan)
  24. Article de Thiébault-Sisson, Le Temps, 3 déc. 1919
  25. Les articles de presse faisant référence à ces expositions à la Galerie Hébrard sont nombreux : Le Figaro, 3 déc. 1919, Le Temps, 2 déc. 1919, The Christian Science Monitor, Boston, 5 jan. 1920, Le Temps, 25 avr. 1922, L’Art et les Artistes, avr. 1923, L’Art Vivant, Guillaume Janneau, art. Adrien Hébrard, déc. 1925, Céramique et Verrerie, 25 nov. 1926
  26. Les Artistes Décorateurs 1900-1942, Yvonne Brunhammer et Suzanne Tise, Flammarion, Paris, 1990
  27. Le XIe Salon des Artistes décorateurs, Émile Henriot, Art et décoration, jan. 1920
  28. Art. de Charles d’Avron, L'Excelsior, 16 juin 1921
  29. Chronique des Arts n°9, 15 mai 1922
  30. Œuvre illustrée dans la revue Mobilier et Décoration d'Intérieur, 1922
  31. Dictionnaire du Salon d’Automne, répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, 1903-1945, Pierre Sanchez, Echelle de Jacob, Dijon, 2006
  32. Lettre du Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts adressée à Guino le 5 sept. 1922, archives de la Manufacture de Sèvres - Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., Julie Gandini, mémoire de 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011
  33. El retorn de Ricard Guinó, gironí universal, Josep Clara, Revista de Girona n°155, nov. déc. 1992
  34. Feliu Elias, L’escultura catalana moderna, Barcelona, 1926, éd. Barcino, p. 103-104
  35. Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., Julie Gandini, mémoire 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011, p. 73 - Archives de la Manufacture de Sèvres
  36. L'œuvre est en couverture du catalogue des œuvres de la Manufacture présentées à cette exposition - Archives de la Manufacture de Sèvres
  37. Les expositions de la Galerie Berthe Weill (1901-1942) et de la Galerie Devambez (1907-1926), Pierre Sanchez, Echelle de Jacob, Dijon, 2009
  38. Archives succession Richard Guino
  39. Dictionnaire du Salon des Tuileries, répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, 1923-1962, Pierre Sanchez, Echelle de Jacob, Dijon, 2007
  40. Les Artistes Décorateurs 1900-1942, Yvonne Brunhammer et Suzanne Tise, Flammarion, Paris, 1990
  41. Cat. n°798
  42. Art. de Thiébault-Sisson, Le Temps, 7 nov. 1923
  43. Archives du musée des Arts Décoratifs, Paris
  44. La Semaine à Paris, Paris-guide..., 28 nov. 1924
  45. Les Artistes Décorateurs 1900-1942, Yvonne Brunhammer et Suzanne Tise, Flammarion, Paris, 1990
  46. Contrats et correspondance archives succession R. Guino
  47. Dictionnaire du Salon des Tuileries, répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, 1923-1962, Pierre Sanchez, Echelle de Jacob, Dijon, 2007
  48. Décernée par le jury à la demande du directeur de la Manufacture de Sèvres, M. Lechevallier-Chevignard - Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., Julie Gandini, mémoire 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011, p. 70
  49. Exposition d’Art Français contemporain au Japon, Bulletin de l’Art français et japonais, 1925 - Documentation musée Bourdelle
  50. Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XX<sup>e</sup> s., Julie Gandini, mémoire 2<sup>e</sup> cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011, p. 68
  51. Gabrielle Joséphine Borzeix, née le 21 mars 1897 à Paris Xe
  52. Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., Julie Gandini, mémoire 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, Paris, 2011, p. 73 - Archives de la Manufacture de Sèvres
  53. Archives succession R. Guino
  54. Plaquette de l’exposition, archives succession R. Guino, Bibliothèque Emile Chouanard, première partie, Chartres, 1936
  55. Dictionnaire des Indépendants, répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, 1920-1950, Pierre Sanchez, Echelle de Jacob, Dijon, 2008
  56. Catalogues de la SAF de 1910 à 1960 systématiquement dépouillés par Julie Gandini pour son mémoire Richard Guino (1890-1973), un artiste décorateur de la première moitié du XXe s., mémoire 2e cycle sous la direction de Catherine Chevillot, École du Louvre, 2011
  57. Entretien de René Boulé avec Auguste Heiligenstein, 24 novembre 1974, APRG
  58. Le Mouvement des Arts appliqués, Yvanhoé Rambosson, La Revue de l'Art ancien et moderne, juin 1930, p. 258
  59. Plaquette de l’exposition conservée dans les archives de la succession R. Guino
  60. Plaquette de l’exposition conservée dans les archives de la succession R. Guino
  61. lettre du 19 déc. 1930 de l’ingénieur de la Manufacture conservée dans les archives de la succession R. Guino
  62. Contrat archives succession Richard Guino
  63. Archives succession R. Guino
  64. Contrat du 20 jan. 1932 et relevés de droits d’auteur archives succession R. Guino
  65. Renoir et la sculpture, cat., Raymond Cogniat, Galerie Beaux-Arts, 1934
  66. La correspondance entre Bernard Alexander et Guino, qui traite notamment du choix des matériaux, de leur coût et de l’esthétique envisagée, est conservée dans la succession Richard Guino ainsi que le plan architectural de la chapelle et divers reçus de paiement et transport
  67. Contrat du 27 mars 1935, signé par Achille Villey (1878-1955), préfet de la Seine, au nom de la Direction des Beaux-Arts, pour la somme de 8 000 F. La livraison de la commande a lieu le 13 avril 1935 (archives succession R. Guino)
  68. Archives succession R. Guino et documentation de la Bibliothèque Kandinsky, Centre Georges Pompidou, Paris
  69. Exposition Internationale de Paris 1937, Catalogue Officiel des classes 38 à 43, édité par Le Décor d’Aujourd’hui, Paris, 1937 - Documentation du musée d’Orsay
  70. Voir le site du Bureau International des Expositions (BIE) : "Les créations collectives d’artistes et l’art mural sont encouragés : le Palais de l'Air et le Palais des Chemins de Fer sont décorés par Robert et Sonia Delaunay, le Pavillon de la Lumière par Raoul Dufy avec La Fée Électricité, le Palais de la Découverte par Fernand Léger avec le Transport de forces."
  71. Plaquette de l’exposition archives succession R. Guino
  72. Plaquette de l’exposition, contrat de transport des œuvres daté du 8 avr. 1938 et lettres de M. Magnien, conservateur du musée de l’Oise à Beauvais, du 16 mai 1938 et du 27 oct.1938, archives succession R. Guino
  73. Métiers d’Art, Groupe Artistique, “Salon de 1938, Arts Appliqués”, archives succession R. Guino
  74. Métiers d’Art, Groupe Artistique, “Salon de 1939, Arts Appliqués”, archives succession R. Guino
  75. Plaquette de l’exposition archives succession R. Guino
  76. Plaquette de l’exposition archives succession R. Guino
  77. Liste établie grâce à une photo qui documente la préparation de l'exposition (https://www.gettyimages.ae/detail/news-photo/renoir-at-county-museum-11-july-1955-richard-f-brown-news-photo/1047849256), recherches en cours
  78. Contrat et relevés de droits d’auteur archives succession R. Guino
  79. Paris, Léon Tolstoi, Bibliothèque Nationale, exposition organisée pour le cinquantenaire de sa mort, sous la direction de Julien Cain, Paris, 1960, 83 p. Le nom de Guino n’apparaît pas dans la liste des artistes présentant des oeuvres
  80. Delaveaux, Céline et Vignes, Marie-Hélène, Les procès de l'art, petites histoires de l'art et grandes affaires du droit, Paris éd. Palette..., 2013

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